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Agriculture, alimentation, santé publique... soyons rationnels

Sans paroles : « C'est à la chèvre que la brebis va demander de la laine » (proverbe basque)

27 Août 2019 , Rédigé par Seppi Publié dans #Divers

Sans paroles : «  C'est à la chèvre que la brebis va demander de la laine » (proverbe basque)

 

 

(Source)

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K
Affligeant. Pourriez-vous expliquer le titre je ne comprends pas le sens de l'expression.
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S
Bonjour,<br /> <br /> Merci pour votre commentaire;<br /> <br /> Oui, c'est affligeant d'illustrer un article sur des chèvres avec une photo de mouton…<br /> <br /> Quant au proverbe, il faudra demander le sens exact à un basque. Je suppose qu'il signifie que quelqu'un ne veut pas se dépouiller de ce qu'il a et va demander ce qu'il veut à son voisin. Quelque chose dans le genre. Enfin, faites preuve d'imagination. Si vous trouvez mieux, je suis preneur.
I
Seppi<br /> <br /> Après l'article parle bien de moutons et de chèvres mais bon L214 a dû aller trop vite...<br /> <br /> Bon après cet article reste intéressant, il montre que, faute d'avoir une conscience culturelle solide, mpeme les éleveurs ou apprentis agriculteurs peuvent céder aux sirènes du veganisme, sans compter quà mon avis la propagande anti-élevage doit y jouer pour beaucoup. Je pense que des agriculteurs qui se font traiter de monstres, de psychopates et de nazis à longueur de journée sur les réseaux sociaux craquent et rallient le camps adverse.<br /> <br /> Après je peux comprendre aussi ces étudiants, il n'est pas facile pour tout le monde de voir être envoyé à la mort l'animal par nous élevé, il faut avoir une sacré force mentale pour l'accepter. Mais alors que ceux qui ne l'ont pas ou bien trouve la force de l'accepter ou bien renonce à ce métier. Il en va de la survie culturelle des communautés humaines.<br /> <br /> J'ai une camarade dans ma promo, elle dit elle même que si elle devait devenir paysanne, elle ne deviendrait pas éleveuse car elle ne supporterait pas d'élever des animaux qui seront envoyés à l'abattoir, elle deviendrait plutôt céréalière ou maraichaîre. Cette dame continue de manger de la viande parce qu'elle a conscience qu'il est important d'en manger un peu pour notre survie culturelle, mais elle a conscience de ses barrières mentales qui l'empêcheront de devenir éleveuse. Si ces jeunes pouvaient faire de même au lieu de prôner la destruction de notre identité culturelle...
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S
@ Murps le mardi 27 août 2019 à 22:46<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> Merci pour votre commentaire.<br /> <br /> En fait, le délire est trop délirant pour qu'on en arrive là.<br /> <br /> Un monde sans animaux de rente, sans animaux domestiques, mais avec punaises, poux, cafards… quelle belle perspective...
S
Bonjour,<br /> <br /> Merci pour votre commentaire.<br /> <br /> Je n'ai pas lu l'article et n'ai pas l'intention de le lire.<br /> <br /> Je comprends bien que les gens ont chacun une philosophie de la vie qu'ils appliquent de manière plus ou moins stricte. Tant qu'on n'empiète pas sur les libertés de l'autre…<br /> <br /> Les gens qui ne supportent pas l'idée que des animaux partent à l'abattoir doivent aussi apprendre que sans ce sort, lesdits animaux n'auraient pas été élevés. Ils nous doivent leur vie ; ils la doivent au fait que, sauf fatalité, c'est aussi nous qui leur donnons la mort.
M
Si il ne s'agissait que de défendre notre "identité culturelle" ce serait là une aimable activité régionaliste.<br /> Mais avec ce genre de délires, on va crever de faim...